dimanche 13 novembre 2011

Des mouettes dans la ville, des grues à Paris

Lorsqu'il fait froid, les mouettes se montrent plus à l'intérieur des villes, comme ici au parc Montsouris à Paris.

 
En dehors de la période de reproduction, la mouette rieuse ne porte pas son masque nuptial foncé,
mais on en repère les traces autour de ses yeux.


Ce dimanche, un groupe de près d'une centaine de grues cendrées ont volé au-dessus des emprises ferroviaires, à côté de la gare du Nord, dans le dix-huitième arrondissement de Paris (observation de Geneviève Renson, exploratrice, photographe, spécialiste du bec-en-sabot). D'autres grues ont été vues au-dessus de Chatenay Malabry.

4 commentaires:

  1. Bonsoir, habitant du Mans, un Goeland Marin se promène près de la décharge. L'océan se trouve à 250 Km, est ce normal ? Laurent.

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  2. Rien d'anormal à cela, vous trouverez plus de renseignements sur les quatre goélands "urbains" de France sur http://loire-atlantique.lpo.fr/docs%20telechargeable/GISOM-methodo-goelands.pdf
    Le goéland marin mérite particulièrement bien son nom, mais on l'observe néanmoins quasiment chaque année en Île-de-France, et il a été noté trois fois à Paris. Ces grands voiliers se déplacent facilement : à Paris encore, on a observé un goéland dominicain, une espèce de l'hémisphère Nord...
    Bonnes observations Laurent !

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  3. Merci Marc, un autre petit renseignement, donnez vous des cours de naturalisme,(zoologie, entomologie, botanie ...) je souhaiterais faire évoluer mes connaissances. En vous remerciant. Laurent.

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  4. Désolé Laurent, je ne donne pas de "cours", et je n'ai plus le temps d'organiser de sorties nature. Mais il en existe dans tous les départements, notamment auprès de la LPO, avec des guides passionnés et passionnants. La meilleure des leçons est de savoir s'arrêter, regarder et écouter. De nombreux guides d'identification existent sur les oiseaux, les insectes ou les plantes, notamment chez Delachaux et Niestlé, très utiles pour affiner ses connaissances. Je diffuse les miennes par différents moyens (livres, DVD, etc.), et j'apprends par les collègues. Il ne faut surtout pas être intimidé par le vocabulaire compliqué de certains. La nature est ouverte à tous ! L'essentiel est d'abord, à mon avis, d'en apprécier les beautés. Savoir nommer ce qu'on voit est un plaisir de naturaliste, bien sûr, mais ce n'est pas le plus important.
    On se croisera peut-être un de ces quatre ? Je suis bénévole dans plusieurs associations, comme l'ASPAS, et le milieu naturaliste est un petit monde...
    à bientôt donc, de toute façon !

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